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L'étudiante tunisienne aspect ironique en 36 point :D hahaha


L'étudiante tunisienne aspect ironique en 36 point :D hahaha


le modèle d'une étudiante tunisienne est :
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  • avoir une souscription annuel brushing 3and l7ajéma.
  • aimer les emissions stupides de mbc 4 et regarder James Bond uniquement pour mater le cul de Daniel Craig .
  •  pleurer à la fin du fabuleux film TITANIC plus que le jour du deuil de sa grand mère.
  • être capable de connaitre les noms de  plus de 100 parfums et rien à l’odeur.
  • suivre tous ce que  son cerveau lui dicte  par exemple qu’elle est charmante mdr :D .
  • passer de temps en promo plus  quela durée passée d’un opérateur tout au long de sa journée de travaille.
  • la pauvre ne supporte pas  d’être dénommée de matérialiste juste parce qu’elle adore les cadeaux :D les belles voitures :)et  les marques (><)
  • se fait passer de la fille qui n’aime pas  les soirées chics et les sorties -_- pendant que son message personnelle sur facebook est $ sortie   inoubliable $
  • accepte  d’épouser un singe si l’argent croissait dans les arbres.
  • a une notion boursière de l’homme, sa valeur et grandeur augment en fonction de sa cote financière .
  • « walaah za7!!! j’aime pas du tout sortir à une boite , mais je le fais juste pour faire bonheur à mes amies»
  • mon ex est omniprésent même s’il n’est pas là, il est  là :D voilà avec toute simplicité hehehe .
  • être cha9nousa, mahboulaaa, daloulaaa :D .
  • prononcer des mots en français au moins 6 fois en une  seule phrase .
  • aller à une fete ou mariage  ou même thhouur wild 5alt jaretha dans le seul  espoir  et but d’y rencontrer un charmant  prince  héritière d’une belle somme (ou  récemment diplômé  " un jeune ingénieur peut être"  Image ) cherchant lui aussi comme par hasard lbnayyett h7lél
  • dire systématiquement : ti yezii , ca va paeuu  ; wohh , ya bliiiiiddd , ya masset ,tik duda, ya3tekkk deééé sans oublier le fameux et célèbre « mamskteek huhhh »
  • « Bileeeel il est adoraaaable et gentil » , traduction = bilel est moche.
  • manger, marcher , parler au ralenti
  • se maquiller même en classe en regardant toute les 10 secondes  son visage sur son  galaxy core ou iphone 5 pour les plus chanceuses alors que moi je regarde chaque 10 seconde l’écran  classique de mon nouveau -ancien EVERTEK toute en espérant  qu’une tourbillonne viennent me prendre  -_-
    - pour le sport ? ni elle le connait ni elle le pratique  « ama tension !! ifata9 el survêtement »
  • dire ‘5iiiit ‘ systématiquement et automatiquement lorsqu’on parle de quelque chose à contenue sexualité, celà dit miss X est assexuée, matethamelech. MDrrr
  • Pour elle le ménage= boniche de ménage \ chauffeur= transport cad son petit copain(evileye) / banka = pappounet papati /  wah
  • voir une notion << plus légère >> du mot << surpoids >>( celà dit je trouve  azzaa mart sbou3i ou  kaouther elbardi belle et très charmante )
  • identifier un mec par le modèle ou la marque de sa véhicule( Bilel mtaa3 l’x fiiiveuu?)
  • << impossible  mataaarafnich ena chkoun !! >>
  • la délicatesse est " ata njiblek samir 5ouya ikaserlk sennikeuuu » vous voyez ne sont pas très compatibles vraiment :D …
  • annule  une soirée juste parce qu’elle sent qu’elle n’est pas au top de sa beauté
  • préférer se prétendre séropositive(atteinte du Sida 3afena wa3afekom allah :) ) qu’avouer qu’elle n’a pas  d’argent dans son sac 3:D
  • être au courant de toutes les nouvelles d’histoires de ses copines . et sortir avec un homme juste parce  ses copines les plaisent.
  • manger avec finesse dans un resto avec une  fourchette et une couteau   et rentrer chez elle se dîner d’un bon lablébi s7i7 -_-
  • bien jouer l’hypocrite -_- et avoir des talents et habilité d’actrice
  • être passionnée  de christiano ronaldo mta3 **** ^_^. ( le type du mec eli ken tlabsou hata Imagetwétih / celui là baad takwira il sort séduisant tandis que toi  tokhroj masaa55 bel 3raguee hehehe
  • pour se rapprocher de son mec elle fait semblant de se passionner au foot juste : erajl etounsi  ;) elli y3ich que pour jam3itou
  • être apte de voir  et de répéter des dizaines de fois le même feuilleton.
  • tmouuuuut 3la les voyage wooh :3 , paris , turkie, londre.
  • J’ai gardé la meilleure pour la fin < ti ammaan yeziiiiiiiiiii i> veut dire < sûrement j’adore que tu me tripotes mais men7ebech tesma3ni n9oulhelk :D >
    ———————————————————————————————
    "Je répète à dire (Pour celles et ceux qui n’ont pas le sens de l’humour, cette article est juste un texte ironique , bien que véridique de part  de  certains de ses aspects!)
    نعرف لمرا التونسية زادة مذبيها تشريلك عركة مل حيط إذاً نزيد نكتب بالعربي   راني جيست نفدلك يا جماعة  إذاً تقبلوا  الموضوع بصدر رحب :)
  • Si vous aimez l'article vous pouvez toujours rendre visite sur le blog de l'auteur: http://wwww.kbilel.wordpress.com/

Lettre de Marilyn Monroe à son psychiatre Ralph Greenson un an avant son suicide

Lettre de Marilyn Monroe à son psychiatre Ralph Greenson un an avant son suicide

La sulfureuse Marilyn Monroe, légende de son vivant et un mythe qui n'arrête pas d'influencer les générations a mis fin à ses jours le 5 août 1962. Son psychiatre, Dr.Kris, craignant que sa patiente ne passe à l'acte, avait décidé de l'interner dans un hôpital psychiatrique un an avant le drame. Enfermée dans un asile, Marilyn voyait son pire cauchemar se transformer en réalité, comme sa mère et sa grand-mère avant elle,
l'actrice s'était enfermée dans ce qui semble être sa destinée. Dans une lettre destinée au Dr.Ralph Greenson, son psychiatre californien, Marilyn Monroe détaille son internement.Voici les lettres de la descente en enfer.
Le 2 Mars 1961
Cher Docteur Greenson,
J'ai demandé à May Reis [l'assistante personnelle de Marilyn Monroe] de taper ceci car mon écriture n'est pas clairement lisible, mais j'ai aussi inclus ces notes et vous verrez ce que je veux dire.
M.M.
1er Mars 1961,
J’ai regardé à l’instant par la fenêtre de l'hôpital, et désormais, là où la neige avait tout recouvert, tout est un peu vert : l'herbe et les minables buissons, ceux qui ne perdent pas leurs feuilles (même si les arbres ne sont pas très encourageants), les branches nues et lugubres annoncent peut-être le printemps et sont peut-être un signe d’espoir.
Avez-vous vu Les Désaxés ? Dans l'une des scènes, vous pouvez voir à quel point un arbre peut m’apparaître étrange et nu. Je ne sais pas si ça apparaît vraiment à l'écran… Je n'aime pas la façon dont certaines scènes ont été montées. Depuis que j’ai commencé à écrire cette lettre, quatre larmes silencieuses ont coulé. Je ne sais pas vraiment pourquoi.
La nuit dernière, je suis encore restée éveillée toute la nuit. Parfois je me demande à quoi sert le temps de la nuit. Pour moi, il n’existe presque pas, et tout me semble n’être qu'un long et affreux jour sans fin. Enfin, j’ai essayé de profiter de mon insomnie pour être constructive et j'ai commencé à lire la correspondance de Sigmund Freud. En ouvrant le livre pour la première fois, j’ai vu la photographie de Freud et j’ai éclaté en sanglots : il avait l'air très déprimé (cette photo a dû être prise peu de temps avant sa mort), comme s'il était mort en homme désabusé… Mais le Dr Kris m'a dit qu'il souffrait énormément physiquement, ce que j’avais appris dans le livre de Jones. Mais je pense avoir raison aussi, je fais confiance à mon intuition car je sens une triste lassitude sur son doux visage. Le livre prouve (même si je ne suis pas sûre que l'on doive publier les lettres d'amour de quelqu'un) qu'il était loin d'être coincé ! J'aime son humour doux et un peu triste, son esprit combatif qui ne l’a jamais quitté. Je suis pas encore allée très loin dans la lecture car je lis l’autobiographie de Sean O’Casey en même temps (vous ai-je déjà raconté qu’il m’a un jour envoyé un poème ?). Ce livre me dérange beaucoup, enfin, dans la mesure où l'on peut être dérangé par ce genre de choses.
Il n'y avait aucune empathie à la clinique Paine Whitney, et cela m'a fait beaucoup de mal. On m'a interrogée après m’avoir mise dans une cellule (une vraie cellule en béton et tout) pour personnes vraiment dérangées, les grands dépressifs, (sauf que j'avais l'impression d'être dans une sorte de prison pour un crime que je n'avais pas commis). J'ai trouvé ce manque d'humanité plus que barbare. On m'a demandé pourquoi je n'étais pas bien ici (tout était fermé à clefs : des choses comme les lampes électriques, les tiroirs, les toilettes, les placards, il y avait des barreaux aux fenêtres… les portes des cellules étaient percées de fenêtres pour que les patients soient toujours visibles, on pouvait voir sur les murs des traces de la violence des patients précédents).
J’ai répondu : « Eh bien, il faudrait que je sois cinglée pour me plaire ici. » Puis des femmes se sont mises à crier dans leur cellule, enfin j’imagine qu’elles hurlaient parce que la vie leur était insupportable… Dans ces moments-là, je me disais qu'un psychiatre digne de ce nom aurait dû leur parler. Pour alléger leur misère et leur peine, ne serait-ce que temporairement. Je pense qu’ils (les médecins) pourraient même apprendre quelque chose... Mais ils ne sont intéressés que par ce qu'ils ont étudié dans les livres. J’étais surprise parce qu’ils savaient déjà tout ça. Peut-être qu'ils pourraient en apprendre davantage en écoutant des êtres humains vivants et en souffrance. J'ai le sentiment qu'ils se soucient plus de leur discipline et qu’ils laissent tomber leurs patients après les avoir fait « plier ». Ils m’ont demandé de me mêler aux autres patients, d'aller en thérapie de groupe. « Et pour quoi faire ? » ai-je demandé. « Vous pourriez coudre, jouer aux dames, ou même aux cartes, ou encore tricoter. » J’ai essayé de leur expliquer que le jour où moi je ferais cela, ils auraient vraiment une cinglée sur les bras. Ce sont vraiment les dernières choses que j’avais à l’esprit. Ils m'ont demandé si je me sentais « différente » (des autres patients je suppose) et je me suis dit que s'ils étaient assez stupides pour me poser de telles questions, je devais leur donner une réponse toute simple, aussi ai-je dit : « Oui, je le suis ».
Le premier jour, j’ai effectivement rencontré une autre patiente. Elle m'a demandé pourquoi j'étais si triste et m'a suggéré d’appeler un ami pour peut-être me sentir moins seule. Je lui ai répondu qu'on m'avait dit qu'il n'y avait pas de téléphone à cet étage. A propos des étages, ils sont tous verrouillés : personne ne peut ni entrer ni sortir ; elle a paru choquée et surprise et elle m'a dit : « Je vais vous conduire au téléphone ». En attendant mon tour pour le téléphone, j'ai remarqué un garde (je l’ai reconnu à son uniforme gris) et quand j'ai voulu décrocher le combiné, il me l'a arraché des mains et m’a dit très fermement : « Vous, vous ne pouvez pas utiliser le téléphone. » D’ailleurs, ils se vantent de leur ambiance « comme à la maison ». Je leur ai demandé (aux médecins) ce qu’ils entendaient par là. Ils m’ont répondu : « Eh bien, au sixième étage, nous avons de la moquette au sol et du mobilier moderne », ce à quoi j’ai répondu : « Eh bien, c’est le genre de chose que n’importe quel architecte d’intérieur peut fournir, à conditions d’avoir les fonds nécessaires », mais puisqu’ils s’occupent d’êtres humains, pourquoi ne réalisent-ils pas ce qui rend un intérieur plus humain ?
La fille qui m'a parlé du téléphone avait l'air tellement vague et pathétique. Après l'incident avec le garde, elle m'a dit : « J’ignorais qu’ils feraient cela ». Puis elle a ajouté : « Je suis ici en raison de mes troubles mentaux … Je me suis ouvert la gorge plusieurs fois et les veines aussi », elle a dit l’avoir fait trois ou quatre fois. La seule chose que j’avais à l’esprit en l’écoutant c’est un refrain :
« Mêlez-vous les uns aux autres mes frères
Sauf si vous êtes nés solitaires »
Enfin, les hommes cherchent à atteindre la lune mais ils n’ont pas l’air très intéressés pas le cœur qui bat de l’être humain. Quand bien même on pourrait changer, on peut ne pas le vouloir. A propos, c'était le thème des Désaxés, mais personne ne s'en est rendu compte. J’imagine que c’est sans doute à cause des modifications du script et des changements imposés par la mise en scène….
ECRIT PLUS TARD :
Je sais que je ne serai jamais heureuse, mais je peux être gaie ! Vous vous rappelez que Kazan prétendait que j'étais la fille la plus gaie qu'il ait jamais connu, et croyez-moi il en a connu beaucoup ! Mais il m'a aimée pendant un an et, une nuit où j'étais très angoissée, il m'a bercée jusqu'à ce que je m'endorme. Il m'avait aussi conseillé de faire une analyse et plus tard il a voulu que je travaille avec son professeur, Lee Strasberg. Est-ce Milton qui a écrit : « Les gens heureux ne sont jamais nés. » ? Je connais au moins deux psychiatres qui cherchent une approche plus positive des choses.
CE MATIN, 2 MARS
Cette fois encore, je n'ai pas dormi de la nuit. J’ai oublié de vous dire quelque chose hier. Quand on m'a mise dans la première chambre, au sixième étage, on ne m'a pas dit qu’il s’agissait d’une section psychiatrique. Le Dr Kris m'a affirmé qu'elle passerait me voir le lendemain. L’infirmière est entrée, après que le docteur (un psychiatre) m’a fait un examen médical y compris un examen des seins pour s'assurer que je n'avais pas de grosseur mammaire. J'ai protesté, mais sans violence, en expliquant que le médecin qui m'avait fait entrer, un imbécile du nom de Lipkin, m'avait fait subir un check-up complet il y a moins d’un mois. Mais quand l'infirmière est entrée, j'ai remarqué qu'il n'y avait aucun moyen de l'appeler, même pas de sonnettes. J'ai demandé des explications et elle m'a appris que j'étais dans une section psychiatrique. Après son départ, je me suis habillée et c'est là que, dans l’entrée, j'ai rencontré la fille pour le téléphone. J'étais en train d'attendre devant la porte de l'ascenseur qui ressemble à toutes les autres portes avec une poignée mais sans les numéros (vous voyez, on les a tous retirés). Après que la fille m'a parlé de ce qu'elle s'était infligée à elle-même, je suis retournée dans ma chambre en sachant qu'on m'avait menti pour le téléphone et je me suis assise sur le lit en pensant à ce que je ferais dans cette situation à un cours d’improvisation théâtrale. Alors je me suis dit, on ne graisse pas une roue tant qu'elle ne grince pas. Je reconnais que j'ai poussé la métaphore un peu loin, mais j’ai piqué cette idée dans Troublez-moi ce soir, un film dans lequel j'ai tourné il y a longtemps.
J'ai pris une chaise pas trop lourde et je l'ai balancée volontairement contre la vitre, ça n’était pas facile parce que je n'ai jamais rien cassé de ma vie. J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour obtenir un petit morceau de verre brisé ; ensuite, j’ai caché le bout de verre dans ma main et je me suis assise tranquillement sur le lit en attendant qu’ils arrivent. Ils sont arrivés et je leur ai dit que s'ils me traitaient comme une folle, j’agirais comme une folle. J'avoue que la suite est grotesque, mais je l’ai vraiment fait dans le film, sauf que c'était avec une lame de rasoir. J'ai leur ai fait comprendre que j'allais me taillader les veines s'ils ne me laissaient pas sortir – ce que je n’aurais jamais fait car comme vous le savez, Dr Greenson, je suis une actrice, et je ne m'infligerais jamais volontairement ni marque, ni blessure, je suis bien trop vaniteuse pour cela. Rappelez-vous, quand j’ai essayé d’en finir, j’ai fait cela très soigneusement avec dix comprimés de seconal et dix de tuonal que j’ai avalés avec soulagement (c’est du moins ce que je ressentais sur le moment). Je n'ai pas voulu coopérer avec eux car je ne pouvais pas approuver leur façon de faire. Ils m’ont demandé de venir gentiment mais j’ai refusé de bouger et je suis restée sur le lit. Alors, ils s’y sont mis à quatre, deux hommes et deux femmes très costauds pour me transporter à l'étage supérieur. Je dois admettre qu’ils ont eu la décence de me porter avec la tête tournée vers le sol. Au moins, voyez-vous, je n’avais pas le visage découvert. J'ai juste pleuré silencieusement tout le long du chemin et on m'a enfermée dans la cellule dont je vous ai parlé et la grosse vache, une de celles qui m’avaient transportée dans la chambre, m'a ordonné de prendre un bain. Je lui ai expliqué que je venais d'en prendre un et elle m'a dit d’un ton sans réplique : « Dès que vous changez d’étage, vous devez prendre un bain ». Le directeur de l’établissement, qui ressemblait à un principal de collège, même si le Dr Kris l'appelle « administrateur », m'a interrogée en se prenant pour un analyste. Il m’a dit que j'étais une fille très très malade et que j’étais comme ça depuis des années. Cet homme méprise ses patients et je vous dirai pourquoi dans un moment. Il m’a demandé comment je pouvais réussir à travailler dans un état aussi dépressif. Il voulait savoir si cela avait des conséquences sur mon jeu et il m’a posé cette question sur un ton assuré et définitif. En fait, il présentait cela comme un fait plutôt qu’une possibilité, aussi lui ai-je fait remarquer que Greta Garbo et Charlie Chaplin et peut-être aussi Ingrid Bergman avaient parfois travaillé alors qu’ils étaient en dépression. Je lui ai d’ailleurs dit que cela était aussi stupide que d’affirmer qu'un joueur de baseball comme Di Maggio ne pouvait pas frapper une balle lorsqu’il était déprimé. C’est absolument ridicule.
A propos, j'ai de bonnes nouvelles, en quelque sorte, puisque je crois que j'ai été utile à quelque chose, enfin c’est ce qu’il affirme. Joe dit que je lui ai sauvé la vie en l'adressant à un psychothérapeute dont le Dr Kris dit que c’est un excellent médecin. Joe dit qu'il s'est repris en main après le divorce, mais il dit aussi que s'il avait été à ma place, il aurait lui aussi demandé le divorce. Pour Noël, il m'a envoyé un champ entier de poinsettias. J'ai demandé qui me les avait envoyé tellement j’étais surprise (mon amie Pat Newcomb était là quand on me les a apportées). Elle m'a dit : « Je ne sais pas trop, la carte dit juste « MEILLEURS VOEUX JOE » ». Je lui ai répondu « Il n'y a qu'un seul et unique Joe. » Comme c'était le soir de Noël, je l'ai appelé et je lui ai demandé pourquoi il m'avait envoyé les fleurs. Il m'a dit : « D'abord, parce que j’ai pensé que tu me téléphonerais pour me remercier, et puis qui d’autre pourrait bien t’en envoyer ? Tu n'as que moi au monde. » Il a ajouté : « Je sais que quand j’étais marié avec toi, je n’ai jamais été embêté ni jamais vu la moindre belle-famille ». Bref, il m’a proposé de prendre un verre avec lui un de ces jours. Je lui ai fait remarquer qu'il ne buvait jamais. Il m'a dit que maintenant il buvait de temps en temps, alors je lui ai dit que j'étais d'accord, à condition d’aller dans un endroit très très sombre. Il m'a demandé ce que je faisais pour Noël ; je lui ai dit : « Rien de spécial, je suis avec une amie ». Il m’a demandé s’il pouvait passer. J'étais heureuse qu’il vienne, même si je dois dire que j'étais déprimée et que je pleurais sans arrêt, pourtant j’étais tout de même ravie de son arrivée. Je pense qu’il vaut mieux que je m'arrête là parce que vous avez sûrement d'autres choses à faire. Merci de m'avoir écoutée un moment.
Marilyn M.

PS : Lorsque je prononçais le nom d’une certaine personne vous aviez l’habitude de lisser votre moustache et de regarder le plafond. Vous savez de qui je parle n’est-ce-pas ? Il a été pour moi (en secret) un très tendre ami. Je sais que vous n’allez pas me croire mais vous devez faire confiance à mon intuition. C’était un genre de brève passade. Je n’avais jamais connu ça avant mais maintenant c’est fait. Il est très attentionné au lit.
Je n’ai aucune nouvelle d’Yves, mais cela m’est égal car j’en garde un souvenir tellement fort, tendre et merveilleux. Je suis presque en larmes...

Les 10 métiers les plus dangereux...qui pourraient faire exploser votre couple !


Publiée dans la revue "Journal of Police and Criminal Psychology", une récente étude américaine vous fait découvrir les 10 métiers qui ont des effets directs sur votre couple et qui pourraient même le ruiner !Le mariage est fondé sur l'amour, la confiance, l'avenir commun et toutes les belles promesses que l'on se fait, mais, d'après cette étude, il va falloir vérifier le CV de votre tendre moitié avant de foncer!

Se marier avec un opticien, un dentiste ou un vétérinaire serait moins risqué pour votre mariage que de votre mettre avec un barman, un massothérapeute ou un télévendeur. Selon l'étude, qui a été réalisée sur l'observation de la vie amoureuse d’un panel test évoluant dans des milieux professionnels différents, la vie de couple est beaucoup plus risquée quand l'un des partenaires exerce dans un domaine relevant des soins, des festivités ou des activités trop stressantes.
Dai Williams, psychologue du travail, explique que "il n’est pas surprenant de constater que les relations se brisent souvent sous la pression des emplois impliquant des horaires chargés ou des modes de travail imprévisibles".
Voici la liste de ces métiers maléfiques pour votre couple:
1) Les danseurs et chorégraphes (43% de risques de rupture)
2) Les barmans (38%)
3) Les massothérapeutes (38%)
4) Les infirmiers, les psychiatres et les aides-soignants à domicile (28%)
5) Les artistes, interprètes, sportifs (28%)
6) Les bagagistes et concierges (28%)
7) Les télévendeurs (28%)
8) Les serveurs/serveuses (27%)
9) Les techniciens de surface (26%)
10) Les chefs cuisiniers (20%)

Elle lui sauve la vie sur le bord de la route !



Une conductrice de Floride a touché le pays tout entier en sauvant son neveu de cinq mois de l'asphyxie sur le bord d'une autoroute encombrée. Les photos de la scène ont fait le tour des médias.Aux États-Unis, elle est devenue l'héroïne de la semaine. La photo de Pamela Rauseo, agenouillée au bord de l'autoroute faisant du bouche-à-bouche à son neveu de cinq mois en arrêt respiratoire, a gracié la une de tous les médias outre-Atlantique qui célèbrent une histoire, qui sans la détermination de cette décoratrice d'intérieur se serait terminée tragiquement.